🇫🇷 « Les Cesaroni reviennent – Et Rome remet le couvert »
🇫🇷 « Les Cesaroni reviennent – Et Rome remet le couvert »
On dit qu’on ne revient jamais vraiment là où l’on a été heureux.
Sauf si on s’appelle Cesaroni.
Dans ce cas, on revient — avec une veste froissée, une bouteille de rouge, et un “qu’est-ce que tu rigoles ?” prêt à sortir.
Oui, les années ont passé. Certains ont grandi, d’autres ont vieilli, beaucoup se sont simplement perdus de vue. Mais maintenant que la famille de Garbatella rouvre les portes, on est tous là : le nez en l’air, comme quand on attend l’odeur du ragoût du dimanche dans les escaliers.
🍝 Plus qu’une série, une grande tablée
Les Cesaroni, ce n’était pas juste une série. C’était une pause émotionnelle. Une trattoria de l’âme où tout était trop, mais tout sonnait juste.
On s’engueulait avant de manger, on se réconciliait avec une accolade qui sentait un peu la carbonara.
Personne n’était parfait. Giulio avec ses obsessions, Lucia avec sa fierté muette, les enfants embrouillés comme les serviettes dans la salle de bain. Mais dans tout ce désordre, il y avait de l’amour. Et ça, aujourd’hui, c’est presque subversif.
🚪 Un retour, ou une deuxième chance ?
Ce n’est pas juste de la nostalgie. Ce nouveau chapitre veut parler à aujourd’hui — à une génération perdue entre les scrolls et les séries sans fin.
Les visages familiers sont de retour, mais aussi des nouveaux. De nouvelles familles, des conflits inédits. Toujours à Rome, toujours à Garbatella, qui a peut-être changé de visage, mais pas d’âme.
Pas d’effets spéciaux. Juste des portes qui claquent, des vérités lâchées trop tard, des maladresses qui touchent. Et pourtant, ce sera familier. Comme une vieille photo retrouvée au fond d’un tiroir avec ce goût de : “On était heureux, et on ne le savait pas.”
💬 Pourquoi on en a encore besoin
À une époque où le mot “famille” change de forme à chaque coin de rue, Les Cesaroni nous rappellent que s’aimer, c’est un boulot dur… mais essentiel.
Avec toutes leurs failles, ils nous ont appris qu’on peut se planter et se relever. Que les durs aussi pleurent — après une bonne vanne.
Alors oui, bienvenue à nouveau.
Faites un peu de place sur le canapé, ouvrez peut-être une bouteille.
Car cette fois, à la table des Cesaroni, il y a aussi une chaise pour la nostalgie.